Ghada Choucri, journaliste au Progrès Egyptien

Journaliste au journal "Le Progrès Egyptien", Ghada Choucri collabore depuis plusieurs années avec le lycée, couvrant les événements importants de la vie de notre établissement.

Aujourd'hui c'est elle qui se fait interviewer par nos élèves de l'atelier radio. Elle nous raconte son parcours, ses études, le fonctionnement du journal et donne des conseils à nos journalistes débutantes.

Tangi Salaün, journaliste, correspondant au Caire

Nos journalistes en herbe ont eu la chance de rencontrer un vrai journaliste : Tangi Salaün, correspondant au Caire pour plusieurs médias français.

Tangi Salaün nous raconte son parcours professionnel et fait le point sur la situation en Egypte depuis le 25 janvier 2011.

La librairie Oum El Dounia à Maadi

Librairie francophone spécialiste du monde arabe,  Oum El Dounia de Maadi est une véritable caverne d'Ali Baba !

Tissus, coussins,  lampes, poterie, boules de Noël : de magnifiques objets de décoration réalisés par des artisans égyptiens, indiens ou de Madagascar côtoient toute la littérature égyptienne comme Naguib Mafouz, El Aswany, Sinoué et tant d'autres.

Un endroit féérique digne des mille et une nuits créé par Ludovic et Agnès  qui vous accueillent toujours avec le sourire.

Leur site : www.librairieoumeldounia.wordpress.com

 

PROF !

Comment peut-on jouer son rôle de PROF quand les règles du jeu n'existent plus ? Jusqu'où peut-on aller ? Ce prof est venu  nous apporter SA réponse.

Héros moderne ayant refusé la résignation, fou dangereux, diront certains ! Quelle différence ?

Ce cours magistral signé Jean-Pierre DOPAGNE, a été joué sous deux titres différents : "L'Enseigneur" et "Prof !". Deux qualificatifs pour une même fonction.

Francis MARECHAL, prof de physique au LFC présentera ce one-man show le 13 décembre 2011 à la salle polyvalente à 19h. Venez nombreux !

Il répond aux questions des élèves de l'atelier radio.

 

Sur les traces de Naguib MAHFOUZ

Khan El Khalili

Le mardi 4 octobre 2011, le groupe d’arabe de 1ère S2 de Mme AMINE est allé visiter KHAN EL KHALILI sur les traces de Naguib FAHFOUZ.

Au cœur de la ville fatimide du Caire, KHAN EL KHALILI, du nom de son fondateur El Khalili, grand commerçant turc appartenant à la noblesse du temps des Mamlouks au début du 15ème siècle, est le seul souk commercial qui existe encore de nos jours. Il est délimité au sud par les mosquées « Al-Azhar» et « Al-Hussein » et au nord par la mosquée « Al-Hakem », entre les deux portes « Bab Al-Fotouh » (porte de la conquête) et « Bab An-Nasr » (porte de la victoire). Il comporte de nombreux bâtiments à « mashrabiyat », mais aussi des « sabils » (sources d’eau), à chacun de ses coins, destinés à assouvir la soif des passants.

Aujourd’hui, des touristes du monde entier sont attirés par la sublimité des productions artisanales et traditionnelles. Le choix s’étend entre des récipients en cuivre, des chapelets, des parfums aux arômes orientaux, des bijoux en argent ou en or, ainsi que des statues en miniature imitant l’art pharaonique. On y retrouve aussi des marchands d’épices, des vendeurs de vêtements traditionnels et modernes, mais aussi des cafés présentant des plats et des boissons typiqueségyptiens.

Le café « El Fishawi », construit depuis 200 ans, est l’un des plus vieux cafés de la ville situé à deux pas de la mosquée « Al-Hussein ». Dans les années 60, NAGUIB MAHFOUZ s’y installait régulièrement pour écrire, ce qui en a fait un des grands lieux de la littérature. Ce café est également le lieu de rencontre d’une élite intellectuelle égyptienne et étrangère.

Finalement, le roman de NAGUIB MAHFOUZ sur KHAN EL KHALILI, portant le nom de ce souk, a permis l’introduction de ce dernier dans le monde de la littérature.

« Je Dis Aime » à Jean-Pierre Daniel

Le Festival de l'Etrange 2011 ne pouvait pas se terminer sans enregistrer le témoignage du fondateur du Festival des Contes, Jean-Pierre Daniel, spécialement venu en Egypte pour assister aux représentations théâtrales des élèves.

A la radio, il nous confie ses impressions, ses souvenirs, avec beaucoup d'émotion et de sincérité mais aussi ses projets culturels en France.

Un lien pour tous les nostalgiques du festival des contes :

http://festiblog.wordpress.com


 

Festival de l’Etrange : Visa pour l’éternité, 1ère représentation

Un manoir hanté par des morts trucidés, condamnés à errer aussi longtemps que leurs meurtres ne seront pas élucidés. Bien vivants, leurs assassins profitent de l’absence des disparus. Mais voilà que le monde des morts commence à se manifester de plus en plus intensément… en quête de leur Visa pour l’éternité.

Dans la grande tradition de l’humour noir anglais (Noblesse oblige, Le Noir te va si bien), cette pièce de Sylvie et Paul Lemay nous plonge dans l’atmosphère étrange d’une famille de grands bourgeois qui s’entretuent joyeusement. Mathilda, la mère de famille, a donné le ton en assassinant son époux et en l’enterrant sous le fumier du jardin. Mais ce qu’ignorent les meurtriers, c’est que leurs victimes errent parmi eux, fantômes avides d’une vengeance qui, seule, leur assurera ce fameux laissez-passer pour le repos éternel. Les spectateurs voient bien déambuler les morts autour des vivants, mais ces derniers ne sont aucunement conscients de la présence de leurs victimes qui commentent chacun de leurs faits et gestes avec hargne, d’où les multiples situations comiques. Nous-mêmes, spectateurs, ne pouvons nous empêcher de nous sentir complices de ces fantômes en quête de justice.

Les élèves de troisième, seconde et première de l’atelier théâtre du LFC s’en sont donnés à cœur joie ce vendredi 20 mai en jouant l’acte I de Visa pour l’éternité devant un public hilare. Les deux représentations ont fait salle comble. Le rideau s’est fermé sous un tonnerre d’applaudissements qui couvraient presque le fameux « I will survive » de circonstance.

 

Festival de l’Etrange : « Visa pour l’éternité »

Un manoir hanté par des morts trucidés, condamnés à errer aussi longtemps que leurs meurtres ne seront pas élucidés. Bien vivants, leurs assassins profitent de l’absence des disparus. Mais voilà que le monde des morts commence à se manifester de plus en plus intensément… en quête de leur Visa pour l’éternité.

Dans la grande tradition de l’humour noir anglais (Noblesse oblige, Le Noir te va si bien), cette pièce de Sylvie et Paul Lemay nous plonge dans l’atmosphère étrange d’une famille de grands bourgeois qui s’entretuent joyeusement. Mathilda, la mère de famille, a donné le ton en assassinant son époux et en l’enterrant sous le fumier du jardin. Mais ce qu’ignorent les meurtriers, c’est que leurs victimes errent parmi eux, fantômes avides d’une vengeance qui, seule, leur assurera ce fameux laissez-passer pour le repos éternel. Les spectateurs voient bien déambuler les morts autour des vivants, mais ces derniers ne sont aucunement conscients de la présence de leurs victimes qui commentent chacun de leurs faits et gestes avec hargne, d’où les multiples situations comiques. Nous-mêmes, spectateurs, ne pouvons nous empêcher de nous sentir complices de ces fantômes en quête de justice.

Les  élèves de troisième, seconde et première de l’atelier théâtre du LFC s’en sont donnés à cœur joie ce samedi 21 mai en jouant l’acte I de Visa pour l’éternité devant un public hilare.

Voici quelques extraits.